Plaisir, Joie, Bonheur : peut-être pas si positifs que ça ?

Plaisir, joie, bonheur : ces trois émotions universellement recherchées sont-elles aussi bénéfiques qu’elles en ont l’air ?
N’y aurait-il pas un piège qui produit finalement l’effet inverse de celui que nous cherchons à atteindre ?
C’est ce que nous allons chercher à démêler dans cet article.

Les clefs du bonheur ne seraient pas données à tout le monde ?

Avant tout, il faut savoir que nous ne sommes pas égaux quant à nos capacités à ressentir ces émotions positives.
Ainsi, la chercheuse et professeure en psychologie positive Sonja Lyubomirsky a établi que 50 % de notre capacité à être heureux est conditionnée par notre patrimoine génétique.
Cela peut sembler énorme et paraître décourageant pour les plus pessimistes.
En plus et nous allons le développer plus loin, améliorer notre environnement ne compterait que pour 10 % dans notre sentiment de bonheur.
C’est pourtant pour améliorer notre quotidien que nous dépensons la plus grande partie de notre temps, de notre argent et de notre énergie.
Et l’on s’étonne que malgré les énormes progrès sociétaux, nous ne soyons finalement pas vraiment plus heureux.

Sauf si on sait les où elles sont et comment les utiliser…

Heureusement, et c’est là notre marge de manœuvre la plus importante, toujours selon les recherches en psychologie positive : notre attitude mentale compterait pour 40 % dans la note globale de notre niveau de bonheur.
Et la bonne nouvelle, c’est que notre attitude mentale est à 100 % sous notre contrôle, enfin presque…
Il faut quand même que :

1. Nous décidions de prendre en main notre capacité à être heureux,
2. Nous connaissions les outils psychologiques qui peuvent nous aider à cultiver notre bonheur.
3. Le plus important et souvent négligé : que nous passions à l’action pour entretenir notre muscle du bien être.

Avant cela, il est important que vous compreniez mieux ce qui se passe dans notre physiologie quand nous ressentons plaisir, joie, bonheur…

Le Plaisir

La carotte devant l’âne : toujours sous notre nez et pourtant insaisissable ?

Le plaisir est le résultat d’un stimulus instantané : la première gorgée de bière quand on a soif, le premier carré de chocolat, la récompense après la victoire.

D’un point de vue physiologique, c’est un shoot de dopamine : on se sent bien et on peut se dire que c’est le bonheur.

Le plaisir, est-ce une émotion qui reste dans le temps ?

Pourtant, et nous l’avons tous expérimenté, dés la deuxième gorgée, dès le deuxième carré, dès que l’excitation de la victoire est retombée nous retrouvons notre niveau de bien-être antérieur voire pire.

Cela s’explique par le fait que la dopamine se dégrade très vite et qu’il faut un stimulus plus important pour en libérer la même quantité, donc pour ressentir le même niveau de bien-être.

C’est pourquoi nous avons tendance à vouloir reproduire ce qui nous a fait plaisir en augmentant les doses…

N’y a-t-il pas là tous les ingrédients pour rentrer dans un comportement addictif ?

Le plaisir : moteur de l’addiction ?

Cette recherche du shoot de dopamine est l’un des moteurs de nos comportements inadéquats face à la société de consommation.

En effet, la société nous vend du plaisir en nous faisant croire que celui-ci nous apportera le bonheur à long terme.
Il suffit de regarder les publicités : voitures, café, nourriture, voyages, articles de mode…etc.

Par exemple : Les campagnes marketing et autres publicités créent une relation directe entre notre bien-et ces belles voitures, ces pâtisseries fondantes et agréables au palet ou ces crèmes qui font la peau douce…

Plaisir, joie, bonheur : le raccourci préféré des publicitaires :

C’est très pratique, car, comme le plaisir est partiel, occasionnel et passager, après l’euphorie de l’achat, le plaisir retombe.
La descente est dure…
Il faut très souvent combler ce sentiment de manque.
Alors afin d’y remédier, nous sommes prêt à recommencer à être attirés par une autre publicité alléchante.

Et le cycle recommence : heureusement, il y a la joie !

La Joie

Comment se manifeste-t-elle ???

C’est une émotion simple qui apporte un sentiment de plénitude. C’est un plaisir passager !

C’est est une émotion comme le plaisir, mais beaucoup plus profonde que le plaisir. On ne dit pas “Je suis en joie parce que j’ai bu mon thé”.

La joie ne se décrète pas. C’est-à-dire qu’on ne peut pas décider du moment où l’on sera joyeux.

En revanche, on peut cultiver un état d’esprit plu propice à la joie. Nous serions donc responsables de nos choix à travers un état d’esprit et à travers des attitudes.

Par exemple : si je ne suis pas attentif, je peux passer à côté de moments joyeux. La joie vient toujours parce qu’on est présent ici et maintenant.

C’est assez profond comme un d’état de grâce !

Par exemple : c’est ce que l’on ressent quand on apprend que l’on a réussi à un examen, qu’il reste encore un modèle soldé de la robe rouge que vous reluquiez depuis un moment…

La joie est, sans doute, le véritable trésor de la vie personnelle ! Ne vous privez pas de ces moments fabuleux… et surtout ne passez pas à côté !

Le Bonheur

Tout d’abord le Bonheur n’est pas une émotion… C’est un état qui provient de plusieurs émotions indicatrices de satisfaction.

Il s’agit d’une expérience paisible!

De plus, il n’est pas lié à une cause extérieure. Il se construit, il est le fruit, la récolte de plusieurs graines que l’on a semées…

Par exemple : Je suis heureux de vivre en couple avec la personne que j’ai choisie

Je suis ravi d’exercer ce job car il me convient parfaitement…

Nous avons fait des choix, renoncé à certaines choses pour être plus heureux et plus équilibrés.
Le Bonheur nous apporte une paix, un équilibre et une harmonie durables !

Comment retrouver la joie de vivre et le bonheur après une dépression ?

Il faut tout d’abord comprendre que la dépression est un épuisement émotionnel qui peut résulter de nombreux facteurs .
Pourtant, elle n’est pas un état physiologique stable sauf en cas de problèmes hormonaux et médicaux avérés.
Elle a besoin pour se maintenir d’être alimentée par de nombreuses pensées négatives.

Si vous avez déjà été en dépression, ou si vous avez déjà été en contact avec des personnes dépressives, vous avez certainement remarqué qu’elles n’ont pas une image très positive d’elles-mêmes.
En général, leur discours intérieur consiste à se répéter en boucle ce genre de pensée négative : “Pourquoi je me sens aussi mal ? Pourquoi ça m’arrive à moi ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? … etc.)

Cette répétition mentale négative est souvent tellement répétée qu’elle est devenue automatique, et que retrouver la joie de vivre parait impossible.
D’autant plus qu’elle nécessite un effort et une énergie qui fait justement défaut.

Pourtant des solutions pour retrouver une vie plus heureuse sont proposées notamment par la psychologie positive.
L’un des outils les plus simples pour restaurer facilement des pensées positives est ce qu’on appelle un journal de gratitude.
Cela consiste à exprimer notre gratitude par écrit tous les jours sur un cahier en notant au moins trois choses dont nous sommes heureux.
Dans les premiers temps, cela parait difficile de les trouver et de les ressentir.
Un petit truc est de se demander ce qui nous manquerait si cela disparaissait de notre vie.

Évidemment, il sera aussi recommandé de cultiver une attitude positive en lisant des citations inspirantes et des livres positifs ou sur la psychologie du bonheur.

Mais parfois ça ne marche pas, comment développer la joie de vivre ?

Pourtant il arrive que toutes ces bonnes résolutions soient mises à mal par des réactions émotionnelles incontrôlées qui réduisent à néant tous nos efforts.

C’est comme si une force plus puissante que nous venait prendre le contrôle de notre vie.
Dans ce cas, il est probable que vous soyez sous l’emprise d’une mémoire traumatique inconsciente qui alimente vos croyances limitantes et vous empêche de mener une vie heureuse.

La seule solution pour aller nettoyer définitivement cette mémoire en autonomie depuis la chaleur de votre salon est d’apprendre Auto-NERTI.
Comme plus de 4 000 personnes depuis 2014, vous saurez alors éliminer une à une toutes les réactions émotionnelles inconscientes qui limitent votre bonheur quotidien.

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En conclusion,

Plaisir, joie, bonheur : faites votre choix !

Ne vous mettez pas en quête de plaisirs instantanés qui s’évaporent dès leur utilisation.
Misez principalement sur le long terme, sur le BONHEUR…

Dans un premier temps, retrouvez le bonheur d’être soi, de vivre sereinement et paisiblement sans rechercher des sensations ou des émotions fortes.
Si cela vous parle, au plus profond de votre être, NERTI peut vous aider à retrouver les plaisirs simples de la vie, je ne parle pas de ceux que la société de consommation a créés pour pallier un manque…
Je parle de ceux qui consistent à retrouver une vie normale, prendre la voiture pour vous rendre à un rdv, sortir et rencontrer vos amis, parler en public sans crainte, retrouver enfin la confiance que vous avez perdue…

 

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